poemes d'hier pour un passé présent
Mes larmes s'affolent sur mon visage
elles coulent, coulent sans courage
elles tombent
elles jouent
elles ne savent même pas pourquoi elles s'affolent
elles sont la,
coulent sans raison,
inondent ma raison
et provoque ma déraison
elles sont lentes et fragiles
symbole du mal et de la peine
leur cimetière les attends
tout au creux de mon cou
elles vont y mourir pour renaîtrent
renaîtrent dans mes yeux inondés de peine
l'alcool les rebutent mais elles sont encore la a m’attendre,
attendre ma déchéance, a guetter mon impuissance
pour me tuer dans un profond sommeil qui m’envolera vers ces cauchemars trop présent, ceux même qui censurent mes au lointain oubliés rêves d’enfants a jamais enterres
et si on s'en allait mourir
et si Je me laissais mourir
si seulement je savais
si seulement je pouvais
pouvoir vivre enfin
pouvoir aimer sans fin
nourrir ma vie d'espoir
et non mourir de désespoir
que ça fait mal
oui très mal
de survoler un être
qui ne fait que paraître
disparaître
paraître
apparaître
être
ou est la différence
quand il n'y a plus de conscience
coupais moi les mains pour ne plus vomir
coupais moi les sentiments pour ne plus avoir de chagrin
coupais moi les veines pour en finir enfin
coupais moi la vie pour m'aider a m'enfuir